Un grand coup de pied dans la fourmillière bien trop établie du positivisme à toutes les sauces. Et si la solution était un grand "Fuck them all" ?
Francis Veber se prend les pieds dans le tapis. Ce qui est con, c'est que c'est un beau tapis, qu'il a tissé lui-même il y a trente-sept ans. Mais ça n'empêche pas le gadin. Quant à Timsit et Berry, ils paraissent s'ennuyer à périr.
L'original a beaucoup vieilli, mais le remake est mauvais dès le jour de sa sortie. La Terre ne va pas s'arrêter pour Keanu Reeves ni pour sa science-fiction écolo mal dégrossie.
Trois Coréens se courent après dans l'est sauvage. L'un est bon, l'autre est une brute, et le dernier est cinglé. Un film forcément barré, et loin d'être parodique...
A coeur vaillant rien n'est impossible. A Lionheart, la vengeance l'est encore moins. L'un des films les plus savoureux de Vincent Price, dont la critique n'a pas été écrite sous la menace...
Sleep dealer nous entraîne dans un monde futuriste où les enjeux de société ont sombrés dans une obscurité peu rassurante.
Etienne Chatiliez étire laborieusement une seule (mauvaise) idée sur près de deux heures, en usant d'odieux intermèdes chantés pour combler la vacuité du film. Valérie Lemercier est en forme, merci pour elle.
Quand la violence et la poésie croisent le fer avec brio... Crying Freeman est d'une beauté à verser une larme.
Film à tendance bonne humeur et amusement. Des tarés face à leur maigre destin dans un univers parallèle proche du nôtre mais un peu trop éloigné pour qu'on se sente y appartenir. Attention à l'overdose de Jean-François Maurice dans la BO toutefois... ou pas.
Avant Shanghai Kid, il y avait Shangaï Joe. Bien moins hollywoodien (et pour cause, c'est italien), le film de Mario Caiano dépote aussi bien dans la tatane azimutée que dans le vannage semi-culte.
Le nouveau label de production DisneyNature ouvre sa propre voie de films animaliers en nous proposant une envolée vers un paysage incroyable et des flamants époustouflants de couleurs.