Deuxième réalisation de Pef, des ex-robins des bois, King Guillaume peine à toucher autant que l'avait pu faire Essaye-moi, et n'amuse pas autant qu'il aurait pu malgré son casting.
La suite de High School Musical, toujours destinée à la télévision. Produite rapidement, la série monte d'un cran en chorégraphie mais dégringole sur pratiquement tout le reste.
Le "phénomène" High School Musical n'a pas commencé au ciné, mais à la télé. Retrouvez les premières vocalises de Troy et Gabriella dans cet épisode qui n'a presque rien à envier à l'opus ciné.
On le sait depuis La guerre des boutons : les enfants sont cruels. En fait, on le savait déjà avant, mais ce conte de Noël vient le rappeler à point nommé, en offrant à une bande de loustics l'occasion d'éclipser les quelques stars venues dire coucou.
Une bande de jeunes cools se rendent sur un lieu sacré et le paient cher. Un film d'horreur avec de belles plantes (dans tous les sens du termes) mais peu d'idées.
Louise-Michel fait partie de ce cinéma drôlement grinçant, né quelque part entre Belgique, Nord et Picardie, un cinéma de la lose diablement rafraîchissant.
Davantage considéré comme un pré-Halloween que comme une oeuvre à part entière, le film de Bob Clark mérite davantage de considération, même si le chef d'oeuvre de l'homme est déjà derrière lui...
Christmas est, de bout en bout, un film inintéressant qu'on ne peut que regarder de l'oeil lointain du spectateur qui n'est pas touché. Dispensable.
Il y a des films magiques, dont on ne saurait trop dire ce qui les rend inusables. Ici, outre la qualité incontestable des gags et des dialogues, il y a la grâce au-delà de la vulgarité, la tendresse au-delà de la cruauté. Et puis bon, on se bidonne.
Arnold cherche un jouet, mais son passé de star de film d'action ressurgit. Du coup, il tape les méchants papas et poursuit des gamines dans des centres commerciaux.
« Tout ce que j'ai avec moi, c'est une marionnette dont les yeux se croisent les bras appelée Iiiiigor ! » Grand-père Fred dans Gremlins 2
Bon petit film policier soutenu par une belle brochette d'acteurs inspirés. Et Edward Norton en fait naturellement partie.
Les frères Coen se répètent un peu, mais le film s'avère distrayant grâce aux joyeuses performances de comédiens chargés d'incarner la Bêtise avec un grand bée.
Oeuvre expérimentale et contemplative, Kurt Cobain: About a son est une plongée en apnée dans l'univers du leader de Nirvana, une plongée à la limite de l'asphyxie.