Des nouvelles du prochain 007 (Paul Haggis)
Depuis le succès de Million Dollar Baby, le scénariste Paul Haggis (Crash) est courtisé par le showbizz hollywoodien. L'auteur canadien à la plume "indépendante" travaille actuellement sur la dernière mouture du prochain James Bond inspiré du premier roman de Ian Fleming en 1953.
Rappelons que le 21ème 007 intitulé Casino royale (petite pensée nostalgique pour la parodie homonyme tournée par John Huston, Ken Hughes, Val Guest avec Peter Sellers & co) sera réalisé par Martin Campbell (Le masque de Zorro, Vertical Limit, Goldeneye). La première version du scénario de Casino Royale concotée par Neal Purvis et Robert Wade (The World is Not Enough et Die Another Day) n'a apparemment pas convaincu.
Avec Paul Haggis, les producteurs paraissent confirmer leur volonté de revenir aux sources de James Bond et de s'éloigner du tape-à-l'oeil pyrotechnique des précédents 007. Quant à l'acteur qui incarnera Bond, aucun nom n'a été confirmé. Parmi les candidats au prestigieux rôle : Goran Visnjic (de la série Urgences), Alex O'Lachlan et Daniel Craig (Layer Cake).
La sortie de Casino Royale est prévue pour automne 2006.
Récemment, Paul Haggis a écrit le scénario du prochain Clint Eastwood : Flags of our Fathers (adaptation du roman de James Bradley). Il est également passé à la réalisation de ses propres scénarios avec le film Collision (en salles le 14 septembre), puis prochainement Iceland, Honeymoon With Harry (roman de Bart Bake) et Death and Dishonor.
Un Scream 4 en préparation (?)
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67 commentaires
Protos
29/03/2005 à 21h33Répondre
Un bon choix, vu la maîtrise d'acteur qu'il a fait preuve dans Closer.
D'ailleurs, physiquement, il est assez proche de Timothy Dalton je trouve.
Cela devrait donc être un retour à un style de James Bond plus académique. C'est quand la date de sortie?
Selena
29/03/2005 à 21h48Répondre
Je crois que la sortie de Casino royale est prévue pour mi 2006 ou septembre 2006.
Protos
29/03/2005 à 21h53Répondre
Ah. Merci pour ces infos Selena.
Comment ça je... mais nan d'abord...
KalistoR
29/03/2005 à 23h00Répondre
Espérons que les négociations n'arriveront pas à terme... (oui je sais, je suis méchant).

Je doute fort que, dans sa jeunesse, James Bond eut le charisme d'une serpillière. Si tel était le cas, Orlando Bloom conviendrait alors parfaitement, il est vrai...
hiddenplace
30/03/2005 à 00h00Répondre
Une fort jolie serpillère alors... (oui, je vois la porte...^^)
ousta
30/03/2005 à 00h51Répondre
Le plus mauvais acteur d'hollywood? Presque sur j'hesite entre lui et ben affleck
tanaka
30/03/2005 à 14h52Répondre
bah Ben Affleck ya pire ke lui...
Anonyme
02/04/2005 à 15h44Répondre
bah Ben Affleck ya pire ke lui...
ben oui largement pire que ben affleck.
Mathew lillard est rarement crédible et son amis aussi !!!!
Baby14
02/04/2005 à 16h17Répondre
Une fort jolie serpillère alors... (oui, je vois la porte...^^)
Idem
Anonyme
02/04/2005 à 23h53Répondre
Quand je pense que lee tamahori préfère se gauffrer sur le clone de 007 (XXX), j'ai un peu peur pour Casino royale qui est un roman de 007 à l'inverse des derniers opus, j'espère qu'ils ne le massacreront pas.
Faut pas oublier que le premier casino royale est un James Bond Non officiel!!!
sondern
03/04/2005 à 10h46Répondre
Je préfère attendre l'annonce des producteurs. Je suis fatigué des supputations des internautes depuis deux ans.
Anonyme
03/04/2005 à 11h15Répondre
Je préfère attendre l'annonce des producteurs. Je suis fatigué des supputations des internautes depuis deux ans.
ben en ce qui concerne martin campbell et casino royale, c'eest officiel je crois
Sphax
03/04/2005 à 15h00Répondre
Au moins ça prouverait que James Bond a évolué en bien au cours de sa vie...
Lestat
06/04/2005 à 18h59Répondre
Hmpf...
Reste à le voir en smocking.
Selena
07/04/2005 à 16h41Répondre
Le porte-parole de Daniel Craig a démenti l'annonce du journal the Sun . Chez Eon Productions, on déclare qu'on en saura plus quand Martin Campbell (réalisateur officiellement officiel du prochain 007^^) aura terminé son dernier film La légende de Zorro.
Je parie toujours sur Clive Owen.
Anonyme
08/04/2005 à 17h01Répondre
Le porte-parole de Daniel Craig a démenti l'annonce du journal the Sun . Chez Eon Productions, on déclare qu'on en saura plus quand Martin Campbell (réalisateur officiellement officiel du prochain 007^^) aura terminé son dernier film La légende de Zorro.
Je parie toujours sur Clive Owen.
il nous font gentiment patienter pendant qu'il prépare le spin off de halle berry !!!
ils sont malins quand même !!!
juro
08/04/2005 à 17h39Répondre
Il paraît même que Pierce Brosnan est de retour dans la course
Selena
08/04/2005 à 17h41Répondre
Le spin off de Halle Berry: Jinx (qu'elle incarnait dans James Bond) ne verra sans doute pas le jour.
Anonyme
08/04/2005 à 17h54Répondre
Le spin off de Halle Berry: Jinx (qu'elle incarnait dans James Bond) ne verra sans doute pas le jour.
ça fait une bonne nouvelle tant mieux !!!!
Selena
09/04/2005 à 08h56Répondre
Il paraît même que Pierce Brosnan est de retour dans la course
Selon Daily Variety, les studios ont proposé 40 millions de dollars à Brosnan pour les 2 prochains 007. En attendant de trouver son remplaçant, il serait peut-être prêt à rempiler pour Casino Royale.
Quoiqu'il en soit, officiellement, aucune annonce ne sera faite avant que Sony n'ait racheté MGM (achat en cours).
Anonyme
09/04/2005 à 11h24Répondre
C'est de la mystification tout ça , ils jouent avec le casting pour entretenir un suspence et populariser le prochain james bond, c'est nul quoi (et je suis fan de 007) !!!
Mantis
09/04/2005 à 15h04Répondre
Le plus gros hoax (?) parle d'un James Bond black.
KalistoR
09/04/2005 à 15h09Répondre
Oui, et même que Dieu (dans Dogma par exemple) est une femme !

Anonyme
10/04/2005 à 18h25Répondre
Même que catwoman est noire !!!
Wax
17/02/2006 à 14h40Répondre
Eva Green doit être à peu près tout ce que j'ai apprécié dans Kingdom of Heaven!
Rahlala ces yeux!!
Kassad
17/02/2006 à 14h45Répondre
j'avoue que ce ne sont pas ses yeux que j'ai remarqué en premier...
Wax
17/02/2006 à 14h49Répondre
Certes!
Mais dans Kingdom of Heaven elle était plus couverte...
Cineman
17/02/2006 à 14h54Répondre
Je confirme elle est vraiment très belle , et je pense qu'elle fera une bonne james bond girl ... en tout cas j'aimerais bien l'avoir comme adversaire personellement
Protos
17/02/2006 à 15h09Répondre
Espérons que le film soit à la hauteur de sa beauté.

Wax
17/02/2006 à 15h19Répondre
Espérons que le film soit à la hauteur de sa beauté.
Rien n'est moins sur. Ya pas eu de James Bond potable depuis des années...
Selena
17/02/2006 à 15h23Répondre
Eva Green doit être à peu près tout ce que j'ai apprécié dans Kingdom of Heaven!
Rahlala ces yeux!!
si tu lis bien, elle a écrit "for Wax, love, Eva Green"
petit cachotier...
nazonfly
17/02/2006 à 15h27Répondre
Elle va sortir en bikini de la mer aussi?
(à mon avis le peu d'intelligence de ce genre de film me fait dire que je ne serais ptet pas si loin de la réalité avec cette blagounette)
Wax
17/02/2006 à 15h27Répondre
Ah Eva! Moi non plus je ne t'oublierai pas !
iscarioth
17/02/2006 à 15h45Répondre
Espérons que le film soit à la hauteur de sa beauté.
Rien n'est moins sur. Ya pas eu de James Bond potable depuis des années...
Ah ? Il y a déjà eu un James Bond potable ?
Lestat
17/02/2006 à 17h49Répondre
Aucun n'est vraiment un grand film -quoique, Godfinger - mais ils sont toujours un minimum divertissant. Le nouveau, là, semble être pensé dans la veine des Timolty Dalton, plus réaliste, moins extravagant.
Ouf, plus de Michael Youn
Ceir
18/02/2006 à 17h05Répondre
Dans les derniers James Bond, je trouve que Goldeneye s'en sort honorablement.
Les deux suivants étaient moyens/divertissants.
Quant au dernier, c'était tellement gros certains passages que ça devenait risible.
nazonfly
21/02/2006 à 14h04Répondre
Dans le dernier James Bond que j'ai vu au cinéma, James Bond rattrapait un avion en piqué. A moins que ce soit Mission Impossible. De toute façon, c'est pas génial comme films.
Castel
21/02/2006 à 17h55Répondre
Si la partie espionnage pouvait rattraper la partie high-tech/action XXXienne qui nous est servie depuis plusieurs années, ce serait déjà un grand pas en avant.
Accessoirement des méchants avec des projets... disons certes mégalo mais un poil intéressants seraient là aussi bienvenus (qui m'aide à monter le fan club du SPECTRE ?)
hunt
21/02/2006 à 17h56Répondre
c'est vrai que sur la photo choisie en haut de topic, elle est belle à en crever
Meow
26/02/2006 à 13h40Répondre
Bonderie de dernière minute, James Bond sera en fait une femme!

C'est Katey Sagal, plus connue sous le nom de Peggy Bundy qui va l'incarner avec pour gadget ultime une lime à ongle nucléaire!
Ca laisse songeur :
Emeric
26/02/2006 à 14h28Répondre
l'équipe a dû modifier la nouvelle bombe de James, l'Aston Martin DBS, afin de lui installer une boîte automatique.
Oh non, misère !!! Une boite auto, sur une Aston
Je boycotte le film car ne supporterai pas cet "inexactitude" technique. Ouais, moi j'aime les James Bond pour leur crédibilité et la faisabilité des cascades !
KalistoR
26/02/2006 à 15h04Répondre
C'est déjà bien que James Bond revienne à ses premiers amours, en l'occurence une Aston Martin (même si elle fait déjà son retour dans [i]Die another day).
Rappelle-toi, James, cette première fois dans Goldfinger, en 1964, avec cette somptueuse DB5 :
James : "Where is my Bentley ?"
Q : "Oh, it's had its day I'm afraid."
James : "But it's never let me down."
Q : "M's orders. You'll use this Aston Martin DB5 with modifications..."
Je crois même me souvenir qu'un modèle DBS a déjà été utilisé par un certain Georges Lazenby dans Au service sercré de sa majesté[/i]. Une Aston Martin sans aucun gadget, qui sera fatale à l'unique femme de James, Teresa, le jour même de leurs noces...
JC
23/11/2006 à 20h55Répondre
J'ai vu le film hier et je rejoins totalement l'avis de Nicolas et met la même note.
Quand, comme moi, on a plus souvent connu Bond en redif tv avec son Roger Moore adepte de la blague à quatre sous et des girls greluches, l'arrivée de Daniel Craig fait un bien fou. L'acteur britannique tire le film vers le haut. Les dialogues badins Vesper Lynd/Bond sont extrèmement délectables, surtout lors de la première rencontre entre les deux personnages. Sinon des Bond Girls épaisses ? Certes Caterina Murino a des formes mais son perso n'est qu'anecdotique, et Eva Green a bien du mal à jouer la tristesse même si elle est dans l'ensemble convaincante (et quels yeux ! ).
Concernant l'action, c'est vraiment LE film du genre du moment. La course-poursuite du début et la scène à l'aéroport de Miami sont ahurissantes. Martin Campbell est vraiment bon ici, notamment dans la scène d'intro en noir et blanc avec l'opposition entre le meurte "à l'arrache" et l'autre froid.
Le générique part d'une belle idée graphique quioqu'un peu trop long - sans oublier que Chris Corneill a vraiment servi une soupe indigeste.
La partie de poker est intense, et enfin un méchant ne torture par Bond pour le plaisir mais pour lui faire cracher des informations. D'ailleurs, le personnage du méchant en lui-même est assez ancré dans l'air du temps en tant que financier du terorisme international. Ca change des mégalomanes avec station spatiale ou pistolet en or
Décidément, je ne pensais pas apprécier autant un Bond, mais Daniel Craig réussi à camper un double zéro âpre et torturé, ce qu'avait échoué à faire Timothy Dalton, avec grandeur. On y trouve même des accents de Jack Bauer dans la catégorie "chien fou".
A la fois respectueux de Ian Fleming et plus moderne, c'est pour moi le meilleur épisode avec [i]Opération tonnerre et l'également romantique Au service secret de sa majesté.
- edit -
Je rajouterai que parfois Daniel Craig est horripilant quand il sort sa moue qu'on dirait tirée de l'interprétation de Ben Stiller dans Zoolander[/i].
weirdkorn
23/11/2006 à 21h09Répondre
On y trouve même des accents de Jack Bauer dans la catégorie "chien fou".
+1
Sinon, c'est un bon film d'action, un chouia long mais qui remet clairement la saga des James Bond sur la bonne voie. Et j'ai adoré la scène d'introduction.
Bzhnono
24/11/2006 à 01h01Répondre
Je suis enfin réconcillié avec les James Bond.
Ca faisait vraiment un bout de temps que j'attendais un James Bond digne de ce nom.
J'avais pas aimé du tout (voire détesté) les deux derniers, Timothy Dalton ne m'avais qu'à moitié convaincu (personnage assez proche du roman mais films sans grand intérêts), Roger Moore m'avais exaspéré avec son humour à deux balles...Bref pas d'acteurs convaincants en Bond entre Connery et Brosnan (qui n'était pas non plus très proche du Bond littéraire).
Dès les premières minutes du film Daniel Craig s'est imposé comme une évidence pour faire revivre l'agent secret Il tue deux personnes (presque) sans sourciller ce qui m'a rappelé les premiers de la saga avec Sean Connery.
Les scènes d'actions sont... ...impressionnantes, la course poursuite en afrique au début du film est incroyable. Les James bond girls font un peu moins greluches que dans les 10 derniers James Bond (un peu seulement...Catarina Murino ne sert pas non plus à grand chose mais tient correctement son rôle).
Le scénar' n'est pas super originale mais tient à peu près la route malgré quelques longueurs.
Par contre là où je tire mon chapeau c'est sur le personnage de James Bond qui renaît vraiment : moins comique, plus froid, sérieux, parfois même insensible (cf les premières minutes du films), parfois humain (non Daniel Craig c'est pas que un tas de muscle). Bref quelqu'un à qui on puisse s'identifier.
Je trouve très bien vu d'avoir, enfin, adapté au cinéma le premier tome des romans. Je parle d'adaptation sérieuse. La version de 1967 avec un casting de rêve est une énorme parodie sans queue ni tête (qui m'a fait hurler de rire) mais qui est vraiment à des kilomètres du roman.
Bref la franchise est sauvée, James Bond retrouve ses lettre de noblesses. Je suis convaincu par Craig, mais j'attend le suivant pour voir si on aura le droit à un bon scénar' (ça fait longtemps que c'est pas arrivé ça) et à des girls un peu plus consistante.
Est-ce qu'un jour ils arriveront à faire un générique de début potable ou du moins pas kitsch. D'habitude c'est déjà quelque chose, mais là je trouve que les créateurs ont battus des record dans l'inregardable et le gratiné (pire que l'intro de Goldeneye).
Protos
25/11/2006 à 17h26Répondre
Je suis enfin en froid avec James Bond.
Ce film me rappel le film du téléphone Nokia, Cellular, dont l'unique objet du film était la promotion du-dit téléphone.
Là, c'est la promotion de Sony et de son portable Vaio, des montres Omega, de Ford et du Casino qui est faite.
On nous vend de la publicité dans un film à grand budget. Déjà, on a droit à de vrais pubs avec James Bond avant le film, ensuite à des vrais scènes de publicités pendant le film, le tout pour 9,80 la place au MK2 (Paris). Mince.
'tin, maintenant je suis prévenu, on m'y reprendra pas à deux fois.
Le seul avantage de ce film, c'est qu'il est plus réaliste que ces prédécesseurs : JB en prend plein le bas du dos. Mais comparé aux répliques du genre "c'est une Rolex ? Non, une Omega - Elle est pas mal", ça ne suffit pas à faire pencher la balance du bond côté (élu jeu de mot de l'année).
shwarztein
25/11/2006 à 18h08Répondre
(Le phénomène des publicités énormes dans les films revient en force, ça m'avait déjà interpellé dans "I Robot" et ça a l'air d'être le cas dans ce film

)
à Quand un gros plan d'Eragon se désaltérant avec une canette de Coca Light après un dur combat...).
petite disgression désolé.
EDIT : Mouais, le "reviens en force prophétique est de trop en fait" mais il fait pas oublier que souvent qui dit gros budget dit..... gros budget
Donc faut bien rentabiliser un peu (ceci était un message le la 20th Century Fox, momentanément propriétaire du cerveau de shwarztein)
(Bé oui, moi aussi il faut bien que je le rentabilise , mon cerveau
KaSuGayZ
25/11/2006 à 19h30Répondre
Pauvre petit Protos aggressé par le vil capitalisme consumériste.
gyzmo
25/11/2006 à 20h17Répondre
Remember Matrix or Blade Runner, for exemple.
La pub et le ciné, une grande histoire d'amour
Wax
25/11/2006 à 21h00Répondre
Ralalalah Protos découvre les pubs dans les grosses machines hollywoodiennes... il était temps!!
James Bond fait gonfler les chiffres des annonceurs depuis bien des années déjà. Je me faisais justement la réflexion en revoyant Octopussy hier soir (sorti en 1983!) vu que le film est bourré de pubs Sony (déjà) et Seiko par exemple.
Alors oui, c'est lourd de voir ça dans un film et d'être pris pour des vaches à lait, mais il me semble que:
1) depuis le temps que le phénomène existe, on est plus qur prévenu et personne ne force à aller voir ce genre de film. Ya plein de petits film très interessants sans aucune pub.
2) en l'occurence le film est bon (avis perso) et je vais pas bouder mon plaisir parce que Bond cautionne le grand capital.
Anonyme
26/11/2006 à 05h29Répondre
J'ai entendu dire qu'il avait un peu peiné à faire le film,du fait que Craig est dans la vie réélle un gros boulet...


La rumeur fait notamment état du fait qu'il s'est plaint du soleil parce qu'il y est allergique et qu'il ne soit capable de conduire que des voitures automatiques,ce qui a quelque peu ralenti la production.
C'est vrai tout ça?
Si c'est le cas....
Djak
26/11/2006 à 12h15Répondre
des ragots des gens qui n'aime pas craig c'est tout
kou4k
27/11/2006 à 23h09Répondre
pour les voitures automatiques, je veux bien y croire, vu que les ricains ne savent se servir que de ca...
D'ailleurs, quand on regarde fast and furious et les zooms sur le boitier du mec qui passe la 4eme avec des effets comme si que c'était super dur et stylé de passer sa 4ème en ligne droite, on peut se vanter d'avoir un permis francais...
Pour le problème des pubs, sérieux, je ne vois pas du tout le problème.
C'est une partie du décor et je trouve que ca apporte un peu de réalisme et d'immersion : c'est des marques qu'on connait, et on peut reconnaitre notre société dans les images.
Remember retour vers le futur 2, personne ne disait rien.
et considérez cela comme des clins d'oeil au monde réel, comme dans le film cité au dessus.
D'autant plus que ca ne change absolument rien à la qualié ni au visuel d'un film...
"ho coca-cola!, c'est de la merde ce film! ca me remplit le champ de vision ces pubs!"
Faut arrêter, ca gêne pas plus que ca et ca existe depuis les années cinquante...
Pour en revenir au choix de Daniel Craig, en prenant du recul et y réflechissant, j'ai l'impression qu'ils ont voulu, comme le film revient aux origines de bond, revenir à un physique plus proche de Sean Connery, qui, rappelez-vous, était plutôt baraqué et moins classe que brosnan...
Bond n'a pas encore appris les bonnes manières.
Anonyme
28/11/2006 à 01h04Répondre
Pour le problème des pubs, sérieux, je ne vois pas du tout le problème.
C'est une partie du décor et je trouve que ca apporte un peu de réalisme et d'immersion : c'est des marques qu'on connait, et on peut reconnaitre notre société dans les images.
Remember retour vers le futur 2, personne ne disait rien.
et considérez cela comme des clins d'oeil au monde réel, comme dans le film cité au dessus.
D'autant plus que ca ne change absolument rien à la qualié ni au visuel d'un film...
"ho coca-cola!, c'est de la ***** ce film! ca me remplit le champ de vision ces pubs!"
Faut arrêter, ca gêne pas plus que ca et ca existe depuis les années cinquante...
Si on peut reconnaitre notre société dans ces images, alors ça veut dire qu'il n'y a pas d'autres marques que Sony ? Il a quand même la panoplie complète ce cher James, entre l'appareil photo, les téléphones (des Sony Ericsson avec un logo Sony en plus, du jamais vu), l'ordinateur portable qui est tellement génial qu'il peut envoyer des mails du beau milieu de la rivière à Venise (l'histoire ne dit pas s'il était connecté en Ethernet ou par une borne Wifi située au beau milieu des melons du marché mitoyen), tellement génial aussi qu'on va même vous en faire la pub avant le film.
Qu'on dise que le film est sympa, ok, j'acquièse, mais que les marques servent le réalisme et l'immersion...
Wax
28/11/2006 à 03h23Répondre
pour les voitures automatiques, je veux bien y croire, vu que les ricains ne savent se servir que de ca...
Daniel Craig est un sujet de sa majesté la Reine d'Angleterre.
kou4k
28/11/2006 à 12h42Répondre
Pour les marques, je généralisais, sony est la marque phare de james bond dans cet opus(et peut-être des autres, je ne me souviens plus), mais ca ne m'a pas choqué, sinon arraché un sourire amusé devant la passion des services secrets anglais pour la technologie japonaise...
Quand je parlais de réalisme, c'était dans le sens de l'immersion, un réalisme culturel dans lequel on se retrouve avec nos marques de tous les jours.
On ne peut pas dire que la présence des marques change quoi que ce soit dans le déroulement du scenario.
Il aurait quand même envoyé son mail de nulle part avec un portable noname...
ah...
Alors là, c'est tout à son deshonneur... surtout dans le bled d'Aston Martin...
Mais les anglais utilisent 10% de boites auto dans leurs voitures, et c'est un des pays europeens qui roulent le plus en automatique
ahaaa bien rattrapé...
Wax
28/11/2006 à 17h57Répondre
En même temps, faut pas s'étonner hein! Passer les vitesses de la main gauche c'est pas facile!
Garf
30/11/2006 à 13h21Répondre
Je sais pas si c'est parceque ce James Bond se prend au sérieux qu'il m'a fait plus rire que les autres...J'avoue que le passage où James se sert du méchant Yamakasy pour défoncer des portes, traverser des murs, pêter des poutres, exploser des carreaux, se prendre des balles était tordant! Il n'a pas le chic pour ménager ses victimes James!
Mais cracher sur un James Bond ça ne se fait pas, d'autant qu'on passe plus ou moins un bon moment à chaque fois( bah oui, même quand ils sont tout naze, c'est quand même...bah c'est quand même marrant quoi... ) Je ne sais donc pas si on peut parler de bon ou mauvais James Bond. Aller voir James Bond, c'est comme retourner une fois par an, comme tous les ans, voir sa nourrisse: ça fait juste plaisir, on passe du bon moment ( mais James Bond lui il propose pas de gateaux )!
Anonyme
01/12/2006 à 16h02Répondre
Figure emblématique du cinéma daction depuis plus de 40 ans, James Bond a engendré par moins dune vingtaine de films à un rythme hasardeux. Ces films de qualités très inégales ont surtout eu linitiative dévoluer avec les murs, les modes et les contextes politiques des époques dans lesquels ils se situaient. Mais pourtant, plusieurs éléments de chacune des uvres de la saga restaient les mêmes.
Ces codes bien particuliers évitaient bien évidement loriginalité mais permettaient une reconnaissance du terrain immédiate ; Il était Classe, possédait des Gadgets étonnant, séduisait les filles dun simple regard et son intelligence et son savoir impressionnaient daventures en aventures.
Lagent 007 était donc lhomme parfait pour les situations, un homme bien entendu fantasmé par chacun dentre nous, une sorte de super héros permettant au spectateur de sévader. Dailleurs, dannées en années, les aventures de notre agent sapparentaient presque au comics tellement les personnages et les situations devenaient de plus en plus invraisemblables mais on se laissait facilement séduire car on savait dès le départ le contenu du spectacle comme si en on possédait le programme.
Cette recette un peu éculé faisait justement le charme de la saga. Aussi, CASINO ROYALE par son partis pris peut autant séduire que déplaire tellement il nhésite pas à renier tout ce qui a été construit et suivi toutes ces années.
Lintroduction donne donc le ton (on fera l'impasse sur la musique minable du générique), Lagent nétant pas encore un double zéro, on découvre son passage au statut supérieur, cette mise en bouche filmée en noir et blanc montre clairement les intentions des auteurs, James Bond na plus envie de plaisanter, finit les démarrages explosifs visant la surenchère et le spectacle, nous somme dans une phase de changement, lentrée en matière sera différente et la totalité du métrage vise dans ce sens en prenant systématiquement à contre pieds toutes les actions que lon attends et toute les réactions que lon espère dun Mister Bond interprété par Daniel Craig faisant ses premiers pas dans cet univers balisé.
Daniel Craig qui incarne ici un Bond complètement différent, déjà dans lapparence car Craig est musclé comme il se doit (une nouveauté dans la franchise) impose un physique un plutôt disgracieux avec ses traits dur, ses cheveux blonds et son regard dazur; Un changement radical et discutable. Avec Craig finit le héros intouchable tant physiquement que mentalement, Bond peut souffrir, être torturé, peut douter, aimer et même le dire, ses faiblesses sont telles quon le compare même à un voyou qui nhésitera pas à pénétrer dans la maison de son patron M toujours jouée par la même actrice mais qui cette fois, va faire métamorphoser son rôle de simple supérieur en celui de mère protectrice et moralisatrice.
Ce bouleversement du comportement des personnages va influer directement sur laction, car si chaque personnage standard (le méchant, la James Bond girl) possède un caractère plus humain, le déroulement du film en devient affecté.
Passons sur la scénario qui donne la mauvaise impression denchaîner des séquences dans le seul but de remplir un certain quota (scène damour, daction, de suspense) pour se concentrer sur lintérêt de telles scènes car il est évident que le traitement a été radicalement modifié, Les dialogues ne sont plus aussi légers, les jeux de mots et autres calembours ont tous été simplement supprimés, les bavardages se limitent au nécessaire.
Une nécessité toute relative puisquon passe finalement plus de temps à contempler lagent secret dans ses remises en question et dans sa prise de conscience que dans ses stratagèmes, dailleurs tout ce travail psychologique nous entraîne dans un film parfois intimiste voire sentimentale mais rarement dans un film daction car CASINO ROYALE est finalement tout sauf un film daction parmi tant dautres.
De laction, il y en a finalement peu dans cet épisode, une poignée de séquences rondements menées mais parfois vaines tant on a du mal à en apprécier les enjeux.
Bien sur que le réalisateur Martin Campbell peut se vanter davoir fait mieux que dans son dernier film (la légende de Zorro) mais on a toujours limpression dassister à un passage obligatoire dont on a peine à imaginer la finalité.
Que peut on donc reprocher à ce James Bond finalement ? Pas grand-chose, puisque cest le meilleur opus quon ai pu voir depuis des lustres, le problèmes ne vient pas de la qualité mais plutôt de cette mutation trop radicale qui tel Batman begins essaie de faire redémarrer une franchise qui commençait à sérieusement sessouffler. CASINO ROYALE lorgne un peu trop vers le film intimiste et sérieux, lhumanisation et la crédibilisation désamorce laspect spectaculaire et naffiche plus cette image de bande dessinée
Du coup, dans cette optique, on peut tout simplement affirmer que James Bond est mort car il est évident que beaucoup duvres ont depuis puisé dans la saga et tenté de détrôner ce héros immortel (Triple XXX, Alias) et cest finalement la saga même qui va se remettre en question et qui va tenter un relifting complet engendrant un film sec, humain, et sérieux à mille lieux de ce quon avait pu voir pendant 40 ans . la qualité est donc au rendez vous mais la nostalgie aussi, une nostalgie qui nous rappelle que Bond était autre fois un héros plus quun homme, une personne qui faisait rêver tel superman et qui nous permettait de nous déconnecter de la réalité. A linverse, CASINO ROYALE nous offre un héros tellement réaliste et ancré à notre société (multiple évocations aux 11 septembre) que le film nous refroidit alors quon espérait à la base linverse (montrer lappartement de M est une démythification complète et un peu honteuse). Un constant donc mitigé qui annonce une renaissance qui risque de diviser les fans, mais peut on reprocher à une uvre de tenter une progression ? Il est évident que non mais comme en chirurgie, une opération aussi radicale aurait finalement du entraîner une changement didentité, on pourrait garder les mêmes initiales et renommer notre héros Jack Bauer mais cest parait il déjà pris. une chose est en tout cas certaine, Casino royale marque la fin dune époque, une page est donc tournée, ceux qui n'arrivent pas à s'y faire peuvent définitivement revoir leur collections en boucle, juste pour revoir l'intro légendaire car la légende n'a gardé que le nom; Bond, james Bond.
raidenjeff
01/12/2006 à 16h10Répondre
Merci pour cette brillante analyse
Anonyme
01/12/2006 à 17h01Répondre
Merci pour cette brillante analyse
merci à toi de l'avoir lu
kou4k
01/12/2006 à 18h00Répondre
C'est vrai que le problème posé n'est pas dénué d'interret...
Notamment sur le personnage de M.
"Bond aurait-il vraiment perdu son ame avec cet opus?"
Merci d'avoir soulevé la question(j'ai reussi à lire )
Anonyme
30/07/2007 à 13h57Répondre
Vous n'allez surment pas me contredire si je dit que James Bond rime avec course automobile, gadjets, action et originalité!
30secondes de course avec une aston martin, gadjets sophistiqués pratiquement absent du film, l'action se limite au début du film (un petit peu à la fin aussi, avant que je m'endorme)et au niveau de l'originalité, le Poker, c'est pas une première.
Wax
30/07/2007 à 15h12Répondre
"
Vous n'allez surment pas me contredire si je dit que James Bond rime avec course automobile, gadjets, action et originalité!"
Ben si justement! Quand on lit les bouquins on constate que la profusion de gadgets et autres courses frénétiques sont bien moins présents que dans les films. Et même si j'aime beaucoup les premières aventures ciné de Bond (rien ne vaut Sean Connery en Bond! ) je trouve cette adaptation de Casino Royale très réussie. C'est justement en s'affranchissant des codes de la série et en revenant aux origines qu'elle renouvelle avec bonheur la franchise.
Koub
10/02/2008 à 14h33Répondre
Critique perso de Casino Royale :
La
bête est lâchée
On
aura beau être fan de James Bond, pas de tabou: cette fois,
Sean Connery est bel et bien mort, terrassé par un Daniel
Craig d'une classe insensée. Fustigé pour être le
premier James Bond blond de l'histoire, prétendûment
incapable de conduire son bolide lors du tournage, prétendûment
inapte aux scènes d'action, prétendu esprit faible au
corps malade lors du tournage aux Bahamas, Craig pulvérise
toute critique avec son corps en béton armé, son regard
perforant, ses yeux bleu acier, sa répartie insoupçonnée,
son élégance naturelle et, surtout, son mélange
inattendu de classe et d'animalité.
Un
court prologue, dans un noir et blanc froid et élégant,
expose la rude ascension de James Bond. Fraîchement promu
double zéro, au grand désarroi d'une M. qui n'en peut
plus de subir les assauts de ce rustre, ce Bond là repart donc
de zéro. Les créateurs de la série ont décidé
d'opérer un changement radical. Car la saga était
clairement allée trop loin. Ici, pas de rayon de la mort venu
de l'espace, pas d'armure bionique, encore moins de voiture
invisible. Non. Juste quelques gadgets vaguement high-tech. Mais qu'y
gagne-t-on au change? Un monument de classe pure. Véritable
diamant, tellement brut qu'il en est noir, Daniel Craig campe un
James Bond d'une puissance et d'une présence tout simplement
inégalée. D'une violence incroyable, sans coeur, sans
peur ni reproche, la bête gravit les échelons pour
oublier une origine sociale humiliante et finit par acquérir
le statut hautement dangereux de double zéro. Puis, au fil
d'une caméra menée de main de maître, le
réalisateur Martin Campbell, tel un orfèvre, travaille
Craig pour en faire un diamant de synthèse à l'éclat
presque outré. Monstrueusement classe et brutal, mais d'une
finesse et d'une intelligence jusqu'ici jamais ne serait-ce
qu'effleurée dans la série, Craig bouffe littéralement
l'écran. Le renouveau est salutaire et ce, à tous les
niveaux. Exit donc les gadgets invraisemblables, le James Bond
nouveau se veut à la fois réaliste et ancré dans
le présent. C'est ainsi que, assisté de son seul
ordinateur et de son téléphone, Bond traque un
blanchisseur d'argent qui alimente les réseaux terroristes de
la planète, le Chiffre. Aussi salaud que réaliste, le
Chiffre n'est pas un mégalomane voulant faire péter la
planète à coups de rayons nucléaires. Non, c'est
« juste » un dangereux personnage. Et Bond doit
le défaire. S'engage alors une partie extrêmement
serrée, aussi intelligente que bien menée, s'achevant à
la table du Casino Royale. Campbell, déjà responsable
du renouveau GoldenEye en 1995 avec Pierce Brosnan, livre un film
maîtrisé de bout en bout. Réalisé avec
brio et humilité, ce 21ème
James Bond est d'une beauté ahurissante et l'on ne compte plus
les scènes d'anthologie, mises en exergue par des plans de
caméra de folie. Tout à la fois rêche, sèche
et brutale comme Craig, la caméra sait se montrer souple et
fluide pour aboutir à un cadrage d'une précision
diaboliquement efficace. Dès lors, les scènes d'action
réalistes mais tout de même incroyablement osées,
s'en retrouvent magnifiées. La première
course-poursuite en mode free-running
sur un chantier est d'une efficacité bulldozer comme on n'en
avait presque jamais rencontrée. Elle nous révèle
le nouveau James Bond: ultra-bourrin, inexpérimenté
mais futé, aux antipodes du méchant fuyant qui, par ses
acrobaties, défonce littéralement tous ces abrutis de
Yamakazi. James Bond, lui, écrase tout sur son passage,
préférant passer au-travers d'un mur plutôt que
le contourner. Et lorsqu'il met littéralement à feu et
à sang l'aéroport de Miami, le film confine au sublime,
et c'est dans un état de totale jubilation que le spectateur
assiste à ce défoulement bestial, mélange de
sang, de réacteurs et de tôles froissées, dans un
tourbillon d'images syncopées. Et puis, Bond a beau être
un héros, il s'en prend plein la gueule. Il est classe, mais
il dérouille. Il trébuche, il tombe. On le voit
encaisser, saigner, ahaner. Il finit même odieusement torturé
dans une séquence complètement dingue qui fera se
tordre sur sa chaise n'importe quel homme normalement constitué.
Mais, non content d'être à la fois sublime et créatif,
Casino Royale est d'une aisance stupéfiante dans son scénario,
ses dialogues et ses développements. En l'espace de quelques
répliques, le nouveau James Bond s'impose comme un surhomme en
devenir, un roc qui se cherche, un virtuose du verbe. Le texte est
jouissif et l'interprétation est, elle, tout simplement
extraordinaire. Au vu du lourd passif de la saga, ce film est d'une
audace folle puisque Craig se paye le luxe de démolir l'ancien
James Bond, le temps d'une réplique au bar appelée à
devenir culte*.
Intelligent,
beau et survitaminé, Casino Royale est très clairement
le meilleur film de l'année, le plus puissant film d'action
survenu depuis une éternité et c'est, tout simplement,
le meilleur James Bond de tous les temps.
Et
puis, au royaume du surpuissant, Daniel Craig trône tout en
haut, animal indomptable, de toute sa splendeur décriée.
Bung
12/11/2008 à 23h14Répondre
finit les démarrages explosifs visant la surenchère et le spectacle
Ils preferent en rajouter ailleurs.
Aucune classe ce James, et puis bon, les terros du 11, on s'en fout et ça n'aide pas.
Anonyme
29/11/2008 à 10h30Répondre
Génial les film !
Je t'aime trop Daniel craig