De l'Heroic Fantasy un peu fauché, lancé par de bonnes intentions sans pour autant arriver à se rendre crédible. Pour les amateurs du jeu de rôle Midnight.
Devenu centenaire, le cinéma offre plusieurs milliers de nouvelles œuvres de 1990 à 1999. Entre le prolongement des traditions et l'irruption de nouveautés (technologiques et / ou narratives), la décennie s'avère hybride.
Le bédétiste Riad Sattouf croque l'adolescence avec tendresse mais sans complaisance. Le ton est décalé, inhabituel, et les gags n'en sont pas vraiment. Bizarrement attachant.
Le duo de réalisateurs-scénaristes révélé par Nos jours heureux récidive dans la comédie nostalgique, généreuse, inventive et hilarante. Les acteurs sont au poil, mais c'est essentiellement grâce au scénario et aux dialogues que le film fonctionne.
Il est difficile de dire si Antichrist est un film génial ou nullissime. C'est en tout cas un film original, marquant et somptueux.
Humains et machines se tartinent la poire dans un futur post-apocalyptique. Contre toute attente, le réalisateur McG parvient brillamment à extraire la saga Terminator de l'auto-parodie où elle s'était enlisée.
Cameron et Schwarzie rempilent pour une suite consensuelle, hollywoodienne, pleine d'incohérences mais qui marque le public de l'époque par ses effets spéciaux révolutionnaires et ses séquences d'action ultra-cools.